Si la France dispose d’un dispositif anti-concentration des médias relativement solide, la législation québécoise en la matière apparaît beaucoup plus laxiste. Comme le constatait le Centre d’Études sur les Médias de Laval, « aucune législation visant à limiter de façon spécifique la concentration de la propriété des médias n’a jamais été adoptée au Canada. »
Aujourd’hui, force est de constater que les grands groupes médiatiques québécois coulent des jours heureux. Pourtant, de la concentration des médias dépend la pluralité de l’information et de fait, sa qualité. Ainsi, l’hégémonie de certains groupes pose aujourd’hui problème.
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