« La firme américaine CareerCast vient [de placer] le prolo de l’info en presse écrite tout en bas de sa liste des 200 choix de carrière ». C’est ce que nous révèle Stéphane Baillargeon dans Le Devoir. Ainsi, le métier de journaliste est loin de faire des envieux. Comment expliquer ce statut ? La précarité actuelle de l’emploi pourrait être responsable, mais ce serait là se voiler la face.
Si les journalistes font partie des mal aimés du système à ce jour, ce n’est parce que la société les plaint. Au contraire. Le temps est venu de se poser la question : qui fait encore confiance aux journalistes ?
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