Au fond d’une cour du 9e arrondissement de Paris, le premier institut de beauté dédié aux personnes ayant le corps ou l’esprit cabossé par les aléas de l’existence a ouvert ses portes au mois de juillet. Des socio-esthéticien(ne)s y proposent une gamme de soins spécifiques, destinés à restaurer dignité et estime de soi. Encore méconnu du grand public, ce métier trouve peu à peu sa place dans les milieux hospitalier, carcéral et auprès des populations fragilisées comme moyen de resocialisation et d’accès au mieux-être.
Un article à lire sur le site de L’Express.