D’un point de vue social, le milieu montagnard présente une homogénéité dérangeante. Celles et ceux qui pratiquent les activités de montagne affichent un profil uniforme : blancs, très diplômés et appartenant aux catégories socio-professionnelles les plus favorisées. Si l’argument du coût des loisirs de montagne vient d’abord à l’esprit pour justifier cet état de fait, il occulte d’autres réalités, notamment d’ordre culturel et politique.
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